dimanche 26 octobre 2014

1ère consultation FIVDO (bis)

Nous revenons tout juste de notre quatrième séjour FIV à Barcelone. Comme convenu, nous sommes allés cette fois chez IVI et je peux donc faire mes premières comparaisons. 

Organisation
J'ai trouvé la première consultation moins bien organisée que celle d'Eugin: plus de 3 heures passées à IVI dont beaucoup d'attente. A IVI, il n'y a qu'une salle d'attente par étage, entre chaque entretien (avec le médecin, avec l'infirmière...), on retourne s'asseoir et on patiente avec plein de monde autour. A Eugin, il y avait plein de petites salles et on attendait seuls ou avec un ou deux autres couples maximum. A IVI on vient nous chercher en disant notre nom devant tout le monde alors qu'à Eugin on avait un numéro personnel qui s'affichait et on savait quand on devait se lever sans que notre identité soit "dévoilée". Dans un pays étranger, ça m'est un peu égal, mais dans mon pays, comme j'ai un nom de famille ultra rare, ça aurait pu me gêner. 
Pendant cette consultation, on a rempli pas mal de documents qu'à Eugin nous avions reçus par mail et que nous avions pu lire et compléter tranquillement à la maison. Du coup ça allait plus vite chez Eugin et la consultation avait duré moins longtemps alors même que nous avions plus de questions puisque c'était notre première FIVDO. 
L'établissement du dossier a pris du temps parce qu'ils sortaient les documents ou les imprimaient au fur et à mesure, c'était un peu décousu et parfois l'infirmière pensait que nous n'avions pas certains documents alors même qu'elle venait de nous les donner: pas franchement rassurant. 
Le point positif, c'est que j'ai trouvé cette manière de faire moins formatée et plus personnalisée. Le temps semblait moins compté et il y avait plus de souplesse dans le timing. 

Les autres patients
J'ai remarqué que nous n'étions que peu de patients étrangers. La grande majorité des personnes qui se trouvaient dans la salle d'attente étaient espagnols et l'ambiance était un peu différente: beaucoup parlaient entre eux et il était même difficile de savoir avec certitude qui était venu avec qui. J'ai trouvé ça assez sympathique. 
Nous étions venus avec notre fils et nous n'étions pas les seuls. Maintenant que j'ai un enfant je supporte évidemment très bien les enfants des autres en salle d'attente, mais j'aurais trouvé difficile, il y a deux ans, de me retrouver nez à nez avec des petits enfants qui représentaient alors un inaccessible Graal. Même mon mari, qui m'a toujours reproché mon côté envieux pendant nos essais, m'a avoué qu'il aurait trouvé ça pénible. Bien sûr, le côté positif pour ceux qui viennent sans enfants et qui voient ceux des autres en centre FIV, c'est qu'ils ont sous les yeux la preuve que les techniques de PMA fonctionnent, mais quand même... je crois que ça m'aurait fait mal et j'ai eu l'impression de mettre certains couples mal à l'aise. 

Confort
Bien meilleur chez Eugin. En particulier, d'après mon mari, en ce qui concerne la salle de "recueil" où je ne l'ai pas accompagné. Je me demande d'ailleurs si à IVI ils ont une petite salle pour se détendre après le transfert comme chez Eugin. J'avais bien apprécié. 

Médecine
Le médecin est français, comme chez Eugin. Il n'avait pas une présentation toute prête et bien léchée comme chez Eugin, mais il a pris vraiment beaucoup de temps pour répondre à nos questions et nous expliquer le procédé. Par contre il se braquait un peu lorsque l'on parlait d'argent alors que, malheureusement, il me semble difficile d'occulter cet aspect dans ce type de consultation. Par exemple, je veux bien faire plus de transferts avec moins d'embryons, mais je ne peux pas non plus nier le fait que si je viens plusieurs fois, je paie plusieurs fois, et que cela pourrait bien poser problème un de ces jours. 
En tous les cas, il a été dans le même sens que mon médecin genevois: on part sur le transfert d'un blasto de J5 et non de deux ou trois J3. Lui aussi semblait trouver carrément déraisonnable de transférer 3 embryons pour un deuxième transfert. Là-dessus, on est d'accord, je ne voulais pas risquer à nouveau cette situation pourrie dans laquelle je me disais: "j'espère que ça a marché, mais j'espère aussi quelque part que l'un d'eux n'a pas tenu"... trop paradoxal. Il a demandé plus de résultats d'examens que le premier médecin et nous a semblé plus pointilleux. 
Autre différence: on nous assure 10 ovocytes. Si la ponction en donne moins, le cycle est annulé (on ne le paie pas) et on recommence plus tard. Cela semble nous assurer suffisamment de blastos même si on attend le cinquième jour. Chez Eugin on était parti avec 6 ovocytes, et on avait obtenu 5 embryons. Ce qui me trouble, c'est qu'alors chez IVI on aurait annulé le traitement alors même que c'est bien ce cycle-là qui m'a donné mon fils... Apparemment, 6 ovocytes, c'est très peu et ça laisse penser qu'il pourrait y avoir eu partage d'ovocytes entre plusieurs receveuses. Je ne sais pas, je n'ai jamais posé la question avant. En tous les cas IVI annonce ne pas partager et c'est peut-être pour cela qu'ils peuvent se permettre de fixer la limite à 10 ovocytes. 

Prix
Un peu plus cher chez IVI. Mais il y a cette "garantie" des 10 ovocytes qui pourrait justifier la différence de prix. Et puis Eugin a peut-être augmenté ses tarifs entre temps (à l'époque le devis du mois de décembre était moins élevé déjà que celui du mois d'octobre). 
Il est annoncé que si le cycle ne donnait rien, il y avait une réduction sur le second (je n'ai plus les chiffres en tête). J'apprécie le geste mais je flippe aussi un peu: ils annulent souvent des cycles?! 

Suivi
Cette fois aussi, on nous a donné un numéro que l'on peut appeler quand le besoin se fait sentir, et le mail de notre référante. Je ne sais pas si cette fois on sera en contact toujours avec la même personne. La première fois c'est ce que l'on nous avait dit, et on nous avait donné un nom précis, mais nous n'avions finalement jamais été en contact avec cette personne, toujours avec des autres. Le médecin nous a dit que l'on pouvait lui demander de rappeler et qu'il le faisait dans la journée. Là aussi, je suis un peu sceptique, mais je trouve que ce serait bien: je n'ai pas trop aimé, la dernière fois, parler systématiquement à une nouvelle personne. 

Conclusion
On va partir avec IVI parce qu'ils nous semblent sérieux d'un point de vue médical et parce qu'ils nous ont été recommandés par des personnes de confiance. C'est étrange parce que je dois admettre que si on avait visité les deux cliniques le même jour il y a deux ans, on aurait certainement choisi Eugin! J'espère que je ne fais pas le mauvais choix: je suis prête à perdre un peu niveau confort, image, etc. mais j'espère vraiment qu'on y gagnera niveau suivi et compétences. Affaire à suivre! 

Pour la suite, donc... je dois envoyer quelques examens encore et ils doivent terminer les analyses de mon mari (qui n'avait rien fait ici pour cause de travail, ce qui nous fait perdre quelques semaines, grrrrr) mais dès qu'ils ont tout ça ils se mettent à chercher la donneuse (si ce sont des ovocytes vitrifiés, j'imagine qu'ils peuvent déjà chercher avant, sinon on attendra peut-être un peu plus) et tout cela fait que nous pourrions avoir un premier transfert en novembre... C'est proche finalement...  

dimanche 12 octobre 2014

A nouveau dans la course

Un grand bonjour à toutes! Depuis le temps... j'imagine que certaines avaient oublié jusqu'à l'existence de mon blog;) de mon côté j'ai continué à vous lire, même si je me suis faite plus distante. J'avais besoin je crois de me sentir "normale", de mettre la fivdo derrière moi pour quelques mois, d'éviter certaines questions existentielles liées au don pour vivre le plus sereinement possible cette première année avec mon fils. 

Je reviendrai sur cette vie-là, que j'avais tant désirée et qui, que ce soit un encouragement pour celles qui cheminent encore, a répondu si bien à toutes mes projections. Je reviendrai aussi sur la vie de famille et les rapports parfois compliqués avec le papa... 

Les joies et les peines de cette année n'ont finalement pas de lien réel avec le don, elles sont celles de beaucoup de mamans débutantes et je ne me suis pas sentie différente de mes copines qui ont fait leurs bébés dans leur chambre à coucher. 

Mais maintenant, on y revient! Bébé 2 a toujours fait partie des plans bébé 3 et bébé 4 aussi d'ailleurs, mais la vie nous dira ce qu'elle fait de nos plans. Nous attendions donc le délai d'un an post-césarienne recommandé par les gynécos pour envisager la suite. Entre temps, il y a eu l'interrogation quant à la donneuse la même? pas la même? si oui pourquoi? si non pourquoi? qui est en train de connaître son épilogue: nous pensons changer de clinique et la question ne se pose donc pas si nous allons ailleurs. 

Ce qui m'amène à la question du moment: est-ce que l'on retourne chez Eugin ou est-ce que l'on tente IVI? J'ai pris contact avec IVI et nous avons rendez-vous à la fin du mois. Première constatation: ils sont plus chers. C'est positif (ils sont plus chers, c'est donc qu'ils assurent un meilleur suivi?) ou négatif (c'est juste du "marketing" et ils se font mousser en étant plus chers que les autres)

Ce qui me pousse à changer? Le suivi post-naissance ne m'a pas tellement plu. J'ai eu l'impression qu'une fois que mon résultat positif leur était parvenu, la suite ne les concernait plus tellement et ils ont été un peu maladroits quand ils m'ont dit avoir contacté la donneuse. Ca lui a donné une réalité à laquelle je n'étais pas prête à être confrontée. Je ne voulais pas "passer commande" et solliciter une personne en particulier, je suis déjà assez gênée par l'idée de devoir compter sur quelqu'un d'autre que moi pour faire un enfant pour ne pas en rajouter. Je ne sais pas si j'arrive à exprimer mon sentiment. 

Et puis il y a cet argument chez IVI: ils ne partagent pas les ovocytes entre différentes receveuses. Est-ce que cela veut dire que ceux qui n'abordent pas cette question le font? Est-ce que cela explique la différence de prix? Je m'aperçois que ces questions-là, je ne me les suis pas réellement posées la première fois. Peut-être que dans ma tristesse, dans les doutes de la div do, la peine du diagnostic, l'urgence de mon désir de maternité, mon besoin de réparation, je n'arrivais pas à me questionner au-delà d'une certaine mesure et que maintenant que certaines craintes se sont apaisées, d'autres sont venues les remplacer. Est-ce que je chipote? Est-ce que je cherche toujours la petite bête? 

Certains doutes ont donc subsisté, par exemple la question de l'anonymat qui ne me convainc toujours pas mais avec laquelle j'ai accepté de vivre en faisant la fiv en Espagne. Et cette question du choix de la clinique. Comment savoir que l'on fait le bon choix? Que personne ne souffre ou n'est mis à mal par mes choix? Avant mon fils, la question de la ressemblance, par exemple, me pesait pas mal. Je me demandais non pas si mon fils me ressemblerait trait pour trait, mais si je le reconnaitrais réellement comme "mien". Cette question a été balayée par la naissance et par le quotidien, mais subsistent ces questions éthiques qui me bouleversent toujours autant. Il y a cette envie de "réparer" cette ménopause que j'ai vécue comme une injustice, mais cette crainte aussi d'être moi aussi, en faisant un choix plutôt qu'un autre, injuste. 

Aïe, j'aurais aimé revenir sur une touche plus joyeuse, plus insouciante, mais peut-être que l'on ne change jamais réellement, et peut-être que la solution ne sera connue que quand mon fils pourra me dire s'il accepte tout cela. 

Je me demande si ces "problèmes de riches" trouveront écho auprès de vous qui me lisez, peut-être, encore. Je me demande aussi si tout cela sera jamais résolu. En tous les cas la vie risque bien, je l'espère, une fois de plus, d'être plus rapide que mon cerveau et d'avancer avant que toutes les réponses soient trouvées. Si vous en avez quelques unes, ou du moins des pistes, je tends l'oreille. 

mercredi 30 avril 2014

6 mois avec lui


J'ai eu beaucoup de chance et après la naissance de mon fils, j'ai pu avoir 6 mois de congé maternité. Un peu payé, un peu pour ma pomme, mais peu importe: 6 mois juste pour nous, pour devenir sa maman, pour le découvrir, le voir grandir, grandir aussi un peu, voyager avec lui, le présenter à tout le monde, le photographier, l'embrasser des milliers de fois, le cajoler, le bercer, le baigner, le contempler, lui chanter des chansons, le nourrir, le couver du regard, vérifier qu'il respire, l'entendre rire aux éclats, etc, etc, je m'emballe. 

Etre sa mère, c'est juste la meilleure chose qui pouvait m'arriver, ça a failli ne pas arriver  et je suis terriblement reconnaissante, merci la donneuse, les médecins, mon mari, les fiveuses qui m'ont soutenue, ma famille, les quelques amis qui étaient au courant, merci la vie. Je ne suis pas complètement débarrassée de mon amertume et de mon légendaire cynisme, mais j'y travaille (enfin, non pas tellement en fait, mais j'y travaillerai un jour)

J'ai repris le travail et je m'attendais à ce que ce soit dur pour moi et facile pour lui. En fait c'est le contraire. J'ai certes passé un dimanche horrible, hyper nerveuse, tendue, agressive et le soir j'ai fondu en larmes en couchant mon petit, me disant que dès le lendemain matin les choses seraient très différentes, mais dès que je suis arrivée au boulot, je me suis sentie à ma place. Bien dans ma classe, bien avec les collègues. Et puis quel confort à midi de pouvoir m'attabler sans avoir cuisiné avant, quel calme, quel plaisir de parler à des adultes sans s'interrompre toutes les trois minutes! Bien sûr j'avais appelé ma mère quatre fois dans la matinée, mais tout allait bien. L'après-midi les choses se sont gâtées: à 15h00 bébé s'est coincé le doigt dans un jouet et n'a cessé de pleurer jusqu'à mon retour à 18h30. Je l'ai retrouvé énervé, fiévreux, mais tout content de me revoir. Depuis, s'il ne pleure pas quand je pars, il refuse de manger avec ma mère et ne lui décroche pas un sourire tant que je ne suis pas là. 

Tout cela me surprend énormément: je suis surprise d'avoir autant de plaisir à travailler à nouveau (définitivement: la vie au foyer ne me réussit pas), et je suis surprise que mon bébé soit aussi attaché, c'est un peu comme si je ne réalisais pas encore à quel point je suis pour lui irremplaçable. Qu'il le soit pour moi, je n'en doutais pas, mais cette réciprocité est une vraie découverte (oui, j'ai inventé l'eau tiède)

Et la suite?! 

Après une consultation de routine chez mon dermato de chez qui je suis sortie en demandant à mon mari de bien vouloir m'appeler Benjamin Button (il m'a mis le moral dans les chaussettes en me parlant de ma peau fragile qui - du fait de ma ménopause - allait vieillir vite... ) j'ai fait le pas et ai pris rendez-vous chez un spécialiste de la ménopause. J'avais un peu les chocottes et je repoussais depuis des mois. On m'avait parlé de traitement hormonal substitutif tant en Espagne qu'en Suisse mais j'avais peur et surtout j'avais fait comme une overdose de médocs, de médecins, d'hôpitaux... (je sais que vous voyez). Bref, j'ai appelé, pris rendez-vous... (je vous raconte la secrétaire? "vous êtes ménopausée?" "oui" "mais attendez, vu votre date de naissance, je vais mettre troubles du cycle, parce que bon, c'est un peu tôt" sans blague, connasse, moi aussi je trouve) suis allée au rendez-vous avec une copine parce que j'avais peur et que mon mari ne pouvait pas ce jour-là... et là: LE CHOC! Le plus chou, gentil, compréhensif, patient, respectueux gynéco du monde de tout mon parcours. C'est aussi le plus jeune, quand je l'ai vu dans la salle d'attente, je me suis dit que j'étais encore tombée sur un incompétent et en fait c'est l'homme le gynéco de ma vie, (enfin, je crois, notre histoire ne fait que commencer). Je résume beaucoup: en gros il me conseille la substitution hormonale, mais on en reparlera la prochaine fois parce qu'entre temps il m'a prescrit quelques examens. Je vous raconterai, en attendant, je vais essayer de lui trouver un petit nom. 

La suite c'est aussi... une autre fivdo. Avec mon mari nous en parlions déjà avant même la sortie de la maternité: on est un peu pressés, c'est vrai, il faut dire que:
  • on a eu beaucoup de chance pour la première fivdo qui a marché vite, mais pourra-t-on en dire autant de la seconde? 
  • on aimerait une grande grande famille et on n'a plus 20 ans 
  • on fait la course avec beau-frère et belle-soeur qui en sont à 5 enfants (je rigole, je sais bien que sur le plan de la fertilité ils sont hors norme, ils se reproduisent en se regardant, apparemment) 
  • faut qu'on fasse le deuxième avant de divorcer (je rigole toujours, même si je ris un peu jaune, j'avoue, c'est parfois un peu tendu, mais je vous raconterai peut-être une autre fois)
  • je me donne dix ans de cette vie-là, après je grade au boulot et je fais fortune dans l'enseignement , je sors un peu de ma classe et j'obtiens un vrai bureau dans mon établissement (ou alors je deviens prof de yoga)
  • j'ai adoré être enceinte et je voudrais l'être encore et encore (comme ma belle-soeur, quoi) 
Nous n'avons plus d'embryons en Espagne. J'ai donc contacté la clinique pour leur demander si par hasard il y aurait moyen de refaire une fiv avec la même donneuse. Après un temps infini ils m'ont répondu et ça semble possible. Je ne sais pas trop pourquoi j'ai demandé. D'une part je trouve mon bébé parfait (il parait que c'est normal) et j'ai l'impression que si j'avais la chance de connaître une nouvelle grossesse, j'aurais moins d'inquiétude que la première fois concernant son apparence et sa santé. Et puis je me dis que si les enfants sont proches génétiquement, cela pourrait, médicalement, présenter des avantages (l'un pourrait être donneur de l'autre - je sais, c'est une obsession). Mon mari ne comprend pas ma démarche et je ne sais pas s'il va vouloir que l'on aille dans ce sens. Quant à moi, comme d'habitude, je retourne le truc dans tous les sens, envisage tous les scénarios et nage dans le doute (qui a dit que j'étais une chieuse?)

J'ai envie de proposer à mon gynéco la mise en place d'un groupe de parole pour les personnes en AMP, je trouve qu'on est très seul sur ce chemin (sauf sur le net, paradoxalement), spécialement en Suisse où ce n'est pas remboursé et où la FIVDO n'est même pas autorisée. Mais bon, j'attends de le connaître mieux (mais je précise que nous avons des amis communs sur FB, c'est pas un signe ça?!). Je ne sais pas si quelqu'un a une expérience de ce genre... si oui je veux bien que vous m'en disiez plus.